La Bibliothèque nationale de France et l’Institut national de l’audiovisuel ont mené d’importantes collectes d’urgence du Web et de Twitter lors des attentats de janvier puis de novembre 2015. La conservation du patrimoine nativement numérique des attentats a été aussi au coeur de la réflexion d’autres acteurs, individuels ou institutionnels, européens ou nord-américains, à la même période et parfois en amont. Ils livrent ici leurs regards sur les motivations, réussites, contraintes, mais aussi limites de ces archivages, confrontés au flux, au temps réel, à des données pléthoriques. Ils
éclairent des enjeux de mémoire, de conservation, mais aussi d’accessibilité et d’exploitation de ces données par les chercheurs.
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